Samedi 13 novembre 2010 à 17:46

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 En ce moment, je chiale sur des chansons pop n' rock, tout bas. Toi, t'es pas là. 


Tu sais je crois que le plus dur, c'est de m'avouer que j'ai la trouille. Je flippe, sans cesse mais toi, t'es toujours pas là. Par un ce beau samedi matin, t'étais dans ta bagnole devant le bahut et d'un air complètement indifférent, tu t'amusais à t'faire mater par toutes les gonzesses.

Toi, c'est ça ta solution pour aller bien, mater, draguer, sans jamais t'engager. D'ailleurs, mon coeur, toi et moi, on sait très bien qu'l'engagement c'est pas un truc pour toi, hein Chéri ? Toi, t'as pas assez de couille, mon amour. Tu fais parti de ces hommes, qui n'ont en tête qu'une femme: la même qui vous a enculé, chéri. 

Si j'pête un cable ? Non, j'ai plus le temps de m'énerver à 7 heure du mat' parce que tu te fais draguer par un nana que j'connais pas. Sorry, Baby. J'ai plus assez de force, pour chercher tes yeux. J'ai plus assez de larmes pour te détester. J'peux même plus écrire que je t'emmerde, parce que je t'ai peut-être trop aimé.  

Ce qui me laisse sur le cul, c'est ta putain d'indifférence, ton manque de tolérance, de compréhension. T'étais le seul à pourvoir parfaitement comprendre. Un connard ? Non, t'es même pas un connard. Tu es un gamin puéril, dans le corps d'un homme. T'es con. 
 
C'est la première fois pour moi que tes yeux me font BOUM BOUM BOUM 


T'as vu, ma voix commence progressivement à revenir. J'peux chanter et gueuler sur les toits. Mes mots reviennent peu à peu. Finalement, peut-être que je guéris de toi. Tu crois ? 

Moi, j'crois pas, je ne crois réellement pas qu'on puisse se remettre de quelqu'un comme toi. 

C'est comme essayer d'oublier un  parfum auquel on s'est habitué. J'trouve ça drôle, qu'on puisse un jour me demander d'oublier sur commande, le son de ta voix ou encore le goût de tes lèvres, la couleur de  tes yeux, nos fous rires, nos conneries, nous.

Je le reconnais, tes mots me manquent. Tu me manques, je ne pensais sûrement pas que toi et moi, finirions à l'état de souvenir. Un de ces souvenirs si lointain qui semble s'effacer avec le temps, avec les gens.

Regarde nous, nous ne sommes plus qu'une réminiscence fragile entre deux brides d'une connerie. Regarde toi, tu es de plus en plus puéril. Te voir comme ça, ça me fait chier. J't'e l'dit cash, ça m'emmerde de savoir qu'un mec aussi brillant puisse se comporter comme une merde, gâcher le potentiel qu'il possède, se rendre totalement banal, suivre incessamment une destinée qu'on lui as tracé. Aucun esprit de révolution. Rien..

Chéri, j'ai cru que tu valais mieux que ça. 

Un jour on m'a dit: " J'suis fier de toi, tu te battras pour ton bonheur. 

" Arrête tes conneries deux minutes tu veux ?t'as réussit à m'énerver! Tu crois quoi ? Que la souffrance t'es seul à en avoir ?Tu crois quoi ? Qu't'es seul à en avoir ras le cul ?Alors là oui, je reconnais un truc t'as réussis à m'énerver.Tu crois qu'j'suis heureuse moi ? Et j'passe pas mon temps à  me plaindre et à sortir des trucs du genre passe moi un flingue ?


La mort s'pour les faibles, moi j'veux faire face à ma réalité même si elle est pas super belle. C'est ça la vie. Tu sais pas ce qui va te tomber dessus et pourtant tu te dois  faire avec. C'est comme ça. Et dans une vie même quand c'est pas facile, qu'on en a marre il y aura toujours un semblant d'espoir, un petit miracle ou une personne qui sera là pour te faire comprendre que tous c'qu'est moche dans la vie ça compte pas.  

Ce qui compte, c'est d'y croire.
Croire que tout ira mieux et s'battre.
Se battre pour être Heureux. "

 

Objectivement j'm'en sors toujours pas du tout, j'ai aucune raison d'être heureuse, et pourtant j'avais réellement passé une bonne semaine, je sais pas pourquoi j'étais de bonne humeur, j'me suis amusée. Moi qui faisait semblant d'être heureuse, j'me suis suprise à prendre plaisir à sourire.  Alors, oui, je le redis encore une fois, c'était un truc de malade! T'étais un truc de dingue!  

Mais oui, Le BONHEUR SANS HISTOIRE CA ME PARAIT TRES CHIANT! J'veux pas du bonheur facile, oui j'veux chialer, te détester tant que je peux, j'veux en chier pour être heureuse.



Maintenant, j'assume pleinement à celui qui me posera la question:

J'avais juste oublié de te dire quelque chose à l'époque, mon bonheur c'était toi. 


Allo, L. c'est encore moi, j'ai beaucoup pensé à toi Lola. 
Allo lola ne racrroche pas, ne met pas de ola lola hola 

Allo L. Comme une gamine j'ai le coeur qui fait boum et pleins d'illusions
Allo L comme une gamine c'est la première fois pour moi que tes yeux m'ont fait:

BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM! 

 

Par FernAlienAtiOn le Dimanche 14 novembre 2010 à 11:22
Bonjour et avant tout merci pour la bienvenue =) ! Surtout un grand merci pour avoir lu mes textes c'est quelque chose qui me touche sincèrement. La suite très bientôt si tu as envie d'en lire encore ;)
Par FernAlienAtiOn le Dimanche 14 novembre 2010 à 11:24
J'aime vraiment se texte, il a quelque chose de poignant! Le bonheur sans histoire c'est un mythe ou alors une condition mentale. Mais au fond on prend goût à en chier pour pouvoir vivre d'un bonheur bien mérité =)
Par FernAlienAtiOn le Dimanche 14 novembre 2010 à 11:26
Je prendrais le temps de faire le tour de ton blog, il me plaît bien =)!
Par FernAlienAtiOn le Dimanche 14 novembre 2010 à 18:27
voili voilou j'ai fais le tour de ton blog! 30 pages fort sympathique =) et oui j'aime le dessin pas de soucis j'aime également les graphs mais je n'en fais pas. Je fais tout à l'ancienne xD mon crayon de papier c'est le meilleur U_U :p
 

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